lundi 7 décembre 2009

N°12 Qui sera derrière les écrans ? Quelles garanties de confidentialité ?


Il est prévu que 2500 “agents habilités” visionnent les images. Une cinquantaine de sites d’exploitation est envisagée et environ 300 postes de visionnage. La préfecture de police prévoit de sous-traiter la vidéosurveillance au secteur privé, et le projet de charte d’éthique indique qu’il y aurait au moins deux policiers dans la salle de visionnage. Il est donc clair que ce sont des salariés du sous-traitant qui seront derrière les écrans. Or des incidents récents ont montré que même un commissaire de police est susceptible de diffuser des images confidentielles sur internet. Qu’en sera-t-il avec des systèmes gérés par le secteur privé ?


source : collectif démocratie et libértés

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